Quand j’étais enceinte de mon premier fils et que l’on m’a expliqué que « HEIN ?! QUOI ?! MAIS T’ES DINGUE, tu dois faire une demande d’inscription à la crèche tout de suite ! » (j’étais à 6 mois de grossesse), j’ai rigolé – j’ai cru que c’était une blague. Quand on m’a dit que j’avais plus de chance de gagner au loto que d’obtenir une place, j’ai arrêté de me marrer et quand je me suis renseignée sur les tarifs des assistantes maternelles (salaire amplement mérité hein) et sur la guerre des tranchées pour en trouver une bien (une tout court en fait), je me suis demandée comment j’allais tenir pendant 3 ans en autrice mère au foyer.
Avec le recul, j’aurais dû jouer au loto puisque j’ai eu une place en crèche – et pour mon 2e aussi, 6 ans plus tard
(et je JURE que je n’ai pas couché avec une Directrice de crèche pour l’obtenir).
Donc quand je lis des articles qui expliquent les avantages et inconvénients de tel ou tel mode de garde – Crèche municipale ? Privée ? Parentale ? Assistante maternelle Montessori ou plus tradi ? – je me dis que c’est vraiment naïf d’imaginer que l’on aura le choix. Le mode de garde (et le pognon de dingue qu’il coûte – hein Manu) c’est LE nerf de la guerre quand on est jeunes parents et ça n’est pas pour rien si beaucoup de frères et sœurs ont 3 ans d’écart – âge d’entrée à la maternelle pour l’ainé.
Alors je vous le dis franchement : actuellement enceinte de mon 3e, j’étudie sérieusement la possibilité de confier mon nouveau-né aux bons soins d’une louve pour qu’elle l’allaite et s’en occupe jusqu’à ses 3 ans, à l’ancienne #Rémus&Romulus (ou #Moogli si vous êtes plus team Disney que Team Mythologie).
Bref : #lemodedegardecestchaudpatate